Bonjour,
Alexander G. Parkhomov a reproduit de manière indépendante l'expérience d'Andrea Rossi. Sa mesure de calorimétrie utilisant l'évaporation d'eau est plus fiable que celle de Rossi.
Voir le lien:
http://www.e-catworld.com/2014/12/27/lugano-confirmed-replication-report-published-of-hot-cat-device-by-russian-researcher-alexander-g-parkhomov/
Hors sujet Mr Biberian,
RépondreSupprimerOn me demande des news de Jean Louis Naudin...
http://www.lenr-forum.com/forum/index.php/Thread/1031-Jean-Louis-Naudin-France-Cold-Fusion/?postID=2277#post2277
savez vous ce qu'il fait désormais, et peut être même pouvez vous nous faire un portrait rapide?
Bonsoir,
RépondreSupprimerCela fait longtemps que je n'ai pas de nouvelles de Jean-Louis Naudin. Il y a quelques années j'avais visité son laboratoire, mais depuis, je n'ai eu que des contacts épisodiques. Je ne sais pas ce qu'il fait en ce moment.
Jean-Louis Naudin est un chercheur indépendant très minutieux qui comme on peut le voir sur son site a reproduit de nombreuses expériences de système à COP>1. Je ne le connais pas suffisamment pour en faire un portrait plus détaillé.
Cordialement
Jean Paul Biberian
merci de ces informations.
SupprimerEt vous n'êtes vous pas intéressé pour tenter une réplication ?
RépondreSupprimerEffectivement, je suis en train de faire cette expérience, j'espère avoir des résultats dans les jours à venir.
RépondreSupprimermerci.
Supprimerj'espère que ce sera concluant.
si cette expérience est massivement répliquée ce sera un moment historique.
bon courage.
Mr Biberian,
RépondreSupprimerLes données de l'expérience de Rossi sont-elle accessibles à tous ? Je vous demande cela car vous avez apparemment les données pour reproduire son expérience.
D'ici à l'ICCF19 peut-on espéré que l'expérience soit reproduite par beaucoup de chercheur en fusion froide et que soient publiés beaucoup de résultats positifs si l'expérience s'avère reproductible facilement?
Cordialement.
Vincent
Bonjour,
RépondreSupprimerLes données de l'expérience de Rossi ne sont pas suffisantes pour la reproduire. Par contre, Parkhomov a réalisé une expérience semblable à celle de Rossi, mais beaucoup plus simple. Il chauffe à haute température un tube d'alumine contenant un mélange de poudres de nickel et de LiAlH4. C'est cette expérience que je suis en train de reproduire, mais avec un calorimètre à flux massique, et un tube en acier au lieu d'alumine.
Bonjour Mr Biberian,
RépondreSupprimerJe vous souhaite la réussite pour reproduire l'expériece de Parkhomov.
J'émets cependant quelques craintes quant à l'utilisation de l'acier soumis à une température de 1100~1200°C et à des pressions de plusieurs dizaines de bar. L'acier devient une véritable passoir pour l'hydrogène à ces températures.
Bonne chance,
Arnaud
Bonjour,
SupprimerMerci pour vos encouragements.
Je suis au courant pour le diffusion de l'hydrogène dans l'acier. Cependant, mon calorimètre étant plus sensible que celui de Rossi, j'espère avoir un début de production d'excès de chaleur à plus basse température et plus basse pression.
Cordialement
Jean-Paul Biberian
En corollaire, pour un fonctionnement à plus basse température, il est intéressant de découvrir la différence qu'il y a entre le eCat à basse température (180°C) et le HotCat (1000°C).
SupprimerCrossed fingers,
Arnaud